mercredi 19 septembre 2012

[Goddess of the Sea] Deusa do Mar -1- de P. C. Cast

4e de couverture:


" Christine Canady, CC, est sergent de la Force Aérienne et le jour de son 25e anniversaire, après avoir bu un nombre incalculable de verres de champagne, elle fait une danse sur son comptoir de bar en demandant à la déesse de la terre de mettre plus de magie dans sa vie.
Le jour suivant, son vol a destination du Moyen Orient, dans un C-130, se termine par un désastre avec un avion qui s’échoue dans l’océan. Quand elle pensait que son destin était tracé et sa mort certaine, elle se rend compte qu’elle peut respirer sous l’eau et se retourne face à face avec la plus belle des sirènes.
Concédant à la sirène le désir d’être humaine, elles échangent leurs consciences et CC se voit immergé dans les intrigues de la cour des sirènes, et avec des difficultés à résister aux charmes du prétendant royal.
Mais le désir de retourner sur terre va amener CC à croiser le chevalier de ses rêves, se voyant par la même entrainée dans un dangereux triangle amoureux. "

Mon avis:

Attirée par sa couverture envoûtante et pleine de promesses c’est tout naturellement que j’ai sauté sur cette nouvelle saga de P. C. Cast pendant mes vacances annuelles au Portugal. Même si j’avais aimé le premier tome de la Maison de la Nuit, j’en avais gardé quelques réserves que j’espérais voir balayés par cette histoire . Ce ne fut malheureusement pas le cas.
Commençons d’abord par le point positif en parlant de l’idée de départ. Etant une grande fan de mythologies et de légendes mythologiques, j’ai adoré le concept ici développé de dieux et déesses, qu’ils soient d’origine marine ou terrestre. Les sirènes, les hippocampes, les dauphins et autres créatures donnent une dimension irréelle à ce livre et nous apportent une part de rêve non négligeable.
Mais bien que l’idée de départ fût bonne j’ai vite compris que ce livre et moi n’allions pas nous entendre. Tout d’abord je déplore ce style aussi simple et nian nian. Les personnages et les dialogues sont plats et qui plus est éxaspérants de banalité. J’ai plusieurs fois eu l’impression de me trouver au pays des Bisounours. De plus, certains virages dans l’histoire m’ont fait dresser les poils sur la nuque tellement ils ne sont pas compatibles avec l’histoire et improbables. J’en veux pour preuve la facilité de CC (Christine Canady qui est notre personnage principal) à accepter sa nouvelle condition de sirène transportée au moyen âge pour vivre la vie d’une princesse des mers. Et cette fin, bien qu’inattendue pour ma part, m’a laissé un petit goût de facilité.
Le rythme du livre est très lent et l'action se fait sérieusement désirer. C'est pourquoi j'ai mis autant de temps à le lire et pourquoi j'ai faillit le mêttre de côté plus d'une fois.
Et puis que dire des scènes osés entre un sirène et une humaine, ou d’un sirène et d’une sirène. Je crois que je n’ai jamais autant levé les yeux au ciel pendant une scène du genre et je vous assure que j’en ai lu. C’est tellement loufoque et mal calibré que ça m’a fait rire.
En bref, un livre sans grande saveur alors que le résumé en promettait beaucoup plus. Du facile et du plat jonchent cet univers crée par Madame Cast que je ne recommande pas.

----------
Article transféré de mon ancien blog

dimanche 9 septembre 2012

[Irrésistible...] Irrésistible Fusion - 3 - de Simone Elkeles

4e de couverture:


" Nikki Cruz s'est juré de ne plus faire confiance aux garçons, surtout s'ils sont liés de près ou de loin avec le gang des Latino Blood. Contrairement à ses frères Alex et Carlos, Luis Fuentes s'est toujours tenu à l'écart des problèmes. Brillant et ambitieux, il veut réussir sa vie honnêtement et séduire la jolie Nikki. Mais quand on est un Fuentes, on a le danger dans le sang... Et les Latino Blood sont prêts à tout pour ne pas laisser Luis s'échapper. Le plus jeune des frères Fuentes échappera-t-il au destin de sa famille ? "


Mon avis:


Madame Elkeles, Merci !
Oui merci, parce qu’encore une fois j’ai passé un moment merveilleux avec les Frères Fuentes. J’ai de nouveau eu l’immense plaisir de retrouver votre si belle et unique plume. Et j’ai encore une fois savouré votre savoir faire.
Avec ce troisième frère Fuentes qu’es Luis, vous nous montrez que loin de faire du "on prend les mêmes et on recommence" vous avez su apporter du nouveau tant dans les situations que dans les personnages. Je suis encore et toujours ravie de voir que même si ce sont des frères qui vivent les mêmes problèmes, vous les différenciez par des traits de caractères propres. Vous arrivez à leur faire vivre des identiques mais qui sont, paradoxalement, bien différentes.  J’apprécie aussi, au fil des tomes, de revoir et de constater l’évolution des protagonistes précédents qui font plus que d’être des spectateurs de l’histoire en cours.
Même si j’ai moins eu les larmes aux yeux qu’avec Alex qui avait été un méga coup de cœur et moins ri qu’avec Carlos, ce livre a sonné comme une douce mélodie à mes oreilles. J’ai pris beaucoup de plaisir à suivre Luis et Nikki dans leurs doutes, espoirs et désirs.
J’aimerais juste, si vous me le permettez, émettre un bémol sur la couverture VF de ce troisième et dernier tome de la trilogie Fuentes. J’aurais vraiment aimé que la couverture VO soit utilisée. Je la trouve plus belle, plus « caliente » et surtout bien plus en accord avec les précédentes. Et ceci sera le seul point négatif de cette petite missive que je vous écris...
Car, en bref, c’est un livre -une trilogie- que je recommande et que j’ai depuis longtemps ajouté dans mes livres préférés. Je suis fan de vos écrits et de cette manière avec laquelle vous jouez avec nos émotions en mettant en scène les sentiments des personnages. J’en veux encore et toujours !!

PS : pourrait-on avoir un autre Fuentes dans un futur proche ?? Please !

 «----´¯`----» 

Citations préférées:
p. 53 : " […] Je ne me laisse pas facilement intimider.
Hola, corazón, lui dis-je en relevant les sourcils.
Je ne m’attends pas à la voir sourire.
Ou rire.
Je ne m’attends pas à un coup de genou dan l’entrejambe et un beau "Va te faire foutre!" "
p. 123 : " Nikki s’essuie les lèvres du revers de la main.
- Ne dis à personne que l’ont s’est embrassés.
Pourquoi ? Parce que je suis un pauvre Mexicain et, après Marco, les seuls types dignes d’elle se mouchent dans des billets de cinquante dollars ? "
p. 345 : " - Je recommencerais tout, moi aussi… mais si cela devait se reproduire, évite de me mettre un coup de genou à l’entrejambe. Je suis sûr que nos futurs enfants apprécieront. "

----------
Article transféré de mon ancien blog